UNE ÉQUIPE ENGAGÉE
Le travail d’HAKILI aborde le sexisme et le racisme dans une perspective intersectionnelle. Pour un impact significatif, pertinent et au plus proche des réalités vécues, nous abordons ces thématiques de discrimination dans leur diversité et leur complexité, avec des personnes expertes et surtout directement concernées.
Providence Tuyishemeze
Providence Tuyishemeze est coordinatrice de projets et intervenante. Elle est titulaire d’un Bachelor en Travail social et Sociologie de l’Université de Fribourg et obtiendra son Master en Sociologie avec une mention en migration et citoyenneté de l’Université de Neuchâtel prochainement en 2024. Pendant ses études, elle a pu acquérir des outils et des compétences pour mener des actions éducatives et de recherche visant l’empowerment d’enfants et de jeunes racisées en Suisse.
Elle a eu la possibilité de mobiliser ses compétences créatives dans l’accompagnement ainsi que la gestion de divers projets socio-éducatifs. Ces derniers ont surtout été en lien avec le développement et l’empowerment d’enfants et d’adolescents racisés, en situation de vulnérabilité et/ou issu de la migration. Elle a également été collaboratrice scientifique au sein du Festival Black Helvetia. L’objectif de ce festival est de mener une réflexion sur les discriminations à l’intersection du racisme et du sexisme en Suisse.
Son objectif est de créer des espaces et outils à la fois conceptuels et pragmatiques afin de tempérer les inégalités sociales pour les personnes qui en sont victimes.
Djénéba Diallo
Pédagogue et travailleuse culturelle pour des initiatives liées à la justice sociale et l’égalité des chances depuis plus de 10 ans. Elle a fait des études en science politique à l’université de Montréal et en science de l’éducation mention éducation interculturelle et internationale à l’université de Genève. Lors de ces études, elles s’est spécialisée dans l’éducation à la justice sociale et dans la conceptualisation de formation anti-discriminations en milieu éducatif.
Créative, en parallèle de ces études et de ses activités professionnelles, elle fonde Sɛbɛnni Ni Taama, une plateforme digitale active de 2016 à 2021, qui a comme objectif l’empowerment et la visibilisation des récits de vie de jeunes femmes minorisées.
Ces expériences au sein du secteur associatif impliquent la coordination de projets pédagogiques, l’animation d’ateliers, la médiation culturelle, la réalisation de contenu audiovisuel, la rédaction et l’édition en français, anglais et espagnol.
iche
iche (écrit tout en minuscule, comme bell hooks) étudie l’anthropologie et la littérature anglophone à l’Université de Neuchâtel, avec comme centre de réflexion les questions dé/anti-coloniales, intersectionnelles et communautaires en trouvant ses sources dans les productions littéraires/artistiques des personnes afro-descendantes.
iche écrit également de la poésie. Son amour pour la poésie s’exprime dans toutes ses formes, visuelles, photographiques, filmiques, à travers les mots, le corps et le mouvement et en tant que base d’interaction humaine. Présentement, elle rédige également son travail de mémoire qui se concentre sur l’afrofuturisme et l’intersectionnalité.
larissa igihozo Murangira
En parallèle à Hakili, elle consacre son temps à la co-création et à la facilitation d’expériences vocales incarnées. Notamment, elle anime les ateliers “Held in Song” en collaboration avec Café Révolution, où elle co-crée des après-midi d’expression et de guérison à travers la voix en communauté. Les expériences des personnes afro-descendantes, BIPoC et queer sont au centre de sa pratique.
Son approche créative est à la croisée des arts visuels et sonores. Ses valeurs sont inspirées de pensées décoloniales et intersectionnelles, du démantèlement du perfectionnisme, d’une précieuse connexion avec la nature et de son héritage ancestral. »
Rojda Mavigök
formatrice
Rojda est étudiante en anthropologie sociale et en littératures hispaniques à l’université de Fribourg, où elle a également achevé une formation en psychologie. Forte de son expérience en tant que personne issue de l’immigration dans un contexte académique, elle met à profit un large éventail d’outils théoriques et de pratiques anti-racistes dans son parcours académique. Sa méthode pédagogique se distingue par une combinaison harmonieuse d’empathie et de connaissances approfondies.
Elle possède une solide compétence en analyse critique, qu’elle applique à l’étude des dynamiques de pouvoir et des structures sociales. Elle maîtrise les concepts clés de l’anthropologie sociale, tels que la construction de l’identité et la culture. Son expertise en psychologie lui permet de comprendre et d’aborder les enjeux psychologiques liés à la discrimination.
Ses centres d’intérêts sont éminemment artistiques : cinéma, lecture, écriture poétique et photographie, qu’elle aborde toujours sous un angle féministe intersectionnel et décolonial.
Chargé administratif
gaëtan weislo
Membres du comité
Dahaba Abdirahman: Intervenante sociale dans le domaine de la migration
Nneka – Afra Kane : auteure-compositrice-interprète, membre du collectif afroféministe de Bienne
Faysal Mah: Informaticien, enseignant, membre active du collectif pour la mémoire et de l’Atelier Valorisation, Insertion et Formation. L’AVIF permet d’accompagner des jeunes issus des minorités visibles.
Syndou Konaté: Avocat, conseiller juridique
Maria-Emma Zaidan: Etudiante en commerce
Collaborateur-rices externes
Dominik Kaboré – Assistant en réalisation
Melissa Haguma – Consultante en stratégie de communication
Nneka Edozien – Développeuse web
Zully Faralli – Statisticienne, autrice
HAKILI
Conscientisation, Sensibilisation & Formation
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Nom: Association HAKILI
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